Bonjour,

Suite à plusieurs demandes, nous avons décidé de dédier une partie de notre site à une approche plus théorique du Shockvertising, son histoire, etc…

Visiblement, vous êtes nombreux à avoir des devoirs, mémoires ou autres exercices sur le Shockvertising. Et comme nous avons pu nous même le constater lors de nos débuts, le Shockvertising est un sujet sur lequel il est difficile d’obtenir des informations.

Dès que la refonte complète du site sera achevée, vous pourrez venir trouver ici des informations qui pourront vous épauler dans vos travaux.

L’équipe JeChocJExiste

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Shockvertising : utiliser les tabous de nos sociétés

La publicité on la voit partout : affiches 4×3, Abribus, annonces en presse féminine, publicités sur les lieux de vente, étiquetage promotionnels, murs peints, jeux concours de plage, événementiels de terrain, tracts en distrib, sites Internet, tête de gondole, offres de remboursement sur présentation d’une preuve d’achat …

Pourtant, chaque entreprise doit communiquer, mais comment faire pour se distinguer au milieu de ce flot continu de messages ?

On joue alors sur l’émotionnel, le sensuel, la sensibilité … Le shockvertising est un choix radical à faire !

On associe le choc aux messages publicitaires ce qui favorise la mémorisation de la marque, du produit, de l’entreprise ou du message … La publicité choquante utilise tout ce que rejette nos sociétés : sexe, drogue, mort, racisme, zoophilie … L’objectif est clairement défini : capter l’attention du public .

Le shockvertising n’est pas que du glauque, on joue sur le glamour, le dénudé, la sensualité, les faux-semblants … A chaque personne d’avoir son opinion et sa perception

« Le shockvertising s’appuie sur quatre mécanismes qui sollicitent une réaction chez l’audience :
- Le porno-chic ou le glam-trash prônant que le plaisir est lié à la beauté et au sexe
- L’humour qui déride et qui rend la marque ou l’entreprise sympathique est facteur de buzz donc, amplification volontaire du message
- Le trouble qui utilise la violence, la drogue, la mort, le racisme pour provoquer la colère ou la tristesse et faciliter ainsi la mémorisation
- La confusion qui propose un message sans aucun rapport avec ce qui est montré et qui incite l’audience à rechercher un lien donc à mémoriser la publicité.  »

Mais le mal n’engendrerait-il pas le mal ?

Une banalisation de ces violences dans la société ne pourrait-elle pas entrainer  des concepts encore plus choquants ?

N’existe-t-il pas d’autres possibilités ? Des concepts plus décalés, la beauté du monde, l’humour ??

© Jechocjexiste : le site référent en shockvertising